Le Déluge , Italie 2024 – 101min. 5w3165

Communiqué de presse 655816

Le Déluge 3i4r31

1792, l'Ancien Régime touche à sa fin. À Paris, Louis XVI et son épouse Marie-Antoinette sont arrêtés et conduits au donjon de la Tour du Temple. Librement inspiré des carnets de Cléry, valet de chambre du Roi resté auprès de lui jusqu'à sa mort.

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CommentairesPlus 1t2s42

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Jan 633w5f

il y a 5 mois

Il s’agit bien d’un bout de l’histoire de Louis XVI (16) et non de Louis XIV (14) lui-même mort en 1715… merci d’apporter cette petite correction dans le résumé ainsi que le commentaire :))


Eric2017 5m5h1

il y a 5 mois

Ce sont les derniers mois de Louis XVI et famille qui y sont racontés. Guillaume Canet(Louis XVI) y est totalement méconnaissable et c'est Mélanie Laurent qui interprète Marie-Antoinette. C'est un bon film historique mais qui reste assez monotone dans son ensemble. Basé sur les mémoires du valet du roi, il est assez librement mis à l'écran comme le dit le metteur en scène Gianlucas Jodice. Très peu d'extérieur, tout se e au château où la famille royale est redevenue la famille Capet, soit de simple citoyens. Le roi apparait assez subtile et agréable, alors que la reine, reste fortement aristocratique et antipathique. Dans l'ensemble je dirais que ce film est bien et intéressant, mais les silences tout au long des 100 minutes font que ce film frise l'ennuyeux. (G-26.12.24)Voir plus


CineFiliK 3bc2n

il y a 5 mois

“Les adieux au roi”

En 1792, la Révolution française a vaincu la monarchie. Louis XVI et sa famille sont arrêtés et emmenés au donjon de la Tour du Temple. Ils y resteront plusieurs mois.

« Après moi, le déluge », disait Louis XV. Se doutait-il que son petit-fils n’aurait pas l’étoffe de ceux qui siègent avec majesté sur un trône ? Sous le poids des prothèses, Guillaume Canet campe un roi mou, qui rappelle non sans humour un président français normal. Dans une tragédie en trois actes, Dieu est devenu un homme, un simple citoyen, demain mort. « Que se e-t-il après », demande-t-il au bourreau, déjà plus de ce monde. De quoi exaspérer la reine plus lucide, humiliée par le traitement qui leur est offert et craignant pour ses chers enfants. Un périmètre cerné de cordes en plein milieu d’un couloir constituera leurs salon, salle à manger et chambre impudique, en attendant que les cellules soient prêtes.

La reconstitution semble sensée, librement inspirée des carnets de Cléry, valet de chambre fidèle jusque dans la captivité. Les décors italiens et costumes brillent. Mais que le rythme est lent, si solennel. En ce théâtre des vanités, l’ennui guette à chaque réplique déclamée comme sur une scène. Le ciel gronde. Allez viens, c’est bientôt la fin.

(6/10)Voir plus

Dernière modification il y a 5 mois


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